Qui suis-je ?
Le but de ce jeu de cartes est de récolter le moins de points possible.
A 4 joueurs, chacun reçoit 15 cartes. Après avoir rangé leurs jeux, les joueurs procèdent à l’écart. Chacun se débarrasse des cartes de son choix en retirant de son jeu 5 cartes et les pose, faces cachées, devant son voisin de gauche.
Le donneur entame le premier pli en lançant la carte de son choix, face visible, au centre de la table. Les autres joueurs jouent ensuite chacun à leur tour dans le sens horaire, en suivant impérativement la couleur demandée par le premier.
Si un joueur n’a pas en main la couleur demandée, il se défausse de toute autre carte de son choix. Celui qui a joué la plus forte carte dans la couleur demandée ramasse le pli et entame le pli suivant. Si aucun joueur ne peut suivre dans la couleur demandée, c’est le joueur qui a entamé qui ramasse le pli.
A l’issue du dernier pli, les joueurs comptent leurs points. Chaque xxxx vaut sa propre valeur, le xxxxxx vaut 40 points et les autres cartes ne valent rien. Je suis, je suis…
…Le Papayoo…édité par Gigamic en 2010. Ce jeu est largement inspiré d’un classique de nos ordinateurs, le jeu de la Dame de Pique, qui se joue avec un jeu de 52 cartes (ou éventuellement un jeu de tarot).
L’objectif du jeu reste le même, à savoir de ne pas ramasser de points. La différence est la création d’une 5e couleur, le payoo (qui fait penser aux atouts d’un jeu de tarot) et l’aléa du tirage du dé pour connaître la couleur à éviter.
Les indices étaient (entre autre) dans le nombre de cartes à distribuer (13 dans la Dame de Pique contre 15 dans Papayoo) et dans le nombre de cartes à écarter en début de manche (3 pour la Dame de Pique contre 5 dans Papayoo).
A noter que la Dame de Pique est elle-même une variante d’un autre jeu traditionnel : le Barbu. Mais ceci est une autre histoire.